Le fétichisme sexuel se décline dans des formes variées aujourd’hui. Il ne s’agit plus du tout seulement d’embrasser des pieds ou de se faire fouetter avec une cravache en cuir. Les fétichistes font une fixette sur différents objets et pratiques.
Différence entre fétichisme et kink
Le fétichisme est une sous-catégorie du kink. Ce dernier désigne l’ensemble des pratiques sexuelles non conventionnelles telles que le BDSM, le sexe en groupe ou le candaulisme qui consiste à s’exciter en pensant ou en regardant son partenaire faire l’amour avec quelqu’un d’autre.
Le fétichisme quant à lui est le fait de ressentir une excitation et du plaisir sexuels uniquement grâce à un objet fétiche ou une partie spécifique du corps. Ce type de déviance sexuelle impacte souvent la vie sociale et amoureuse des fétichistes.
Heureusement, aujourd’hui de plus en plus de plateformes comme https://www.plancul-gratuit.fr/annonces/rencontre/fetichiste/fetichisme-bordeaux/ permettent d’exprimer librement ses besoins entre fétichistes sans la moindre gêne. Certains s’envoient des textos, d’autres discutent et se chauffent en webcam.
Voici alors quelques tendances fétichistes que vous pourriez rencontrer sur ces sites. Certains d’entre vous pourraient aussi se reconnaitre. Cette liste est loin d’être exhaustive vu le nombre de préférences. Il en existe beaucoup d’autres.
1- Les mains, les pieds, le nez, les seins
Les podophiles ou foot-fetisher s’idolâtrent devant les pieds au détriment du reste du corps. Si pour les non-fétichistes embrasser le cou, les seins ou même le nombril suffit à donner des frissons, le fétichiste, lui, se concentrera sur les pieds uniquement, les mains ou même le nez. Au fil du temps, le partenaire ayant soif de nouveautés peut trouver cela lassant et plus excitant du tout.
2- La tricophilie ou l’attirance pour les poils
Ce fétichisme touche autant les hommes que les femmes. Ces messieurs sont comme envoutés à la vue de cheveux naturels ou de perruques, mais ces dames s’idolâtrent aussi devant un torse ou des aisselles bien poilues. Vous n’avez pas trouvé de plan cul avec qui passer du bon temps ce soir ? A la place, divertissez-vous devant des tricophiles en pleine action sur des sites porno.
3- Le cuir et le latex ou doraphilie
Les compagnes de ces fétichistes témoignent. Certaines se prennent au jeu et acceptent le fait que leur homme reste scotché devant les sites porno affichant des femmes en combis en cuir et en latex même si elles affirment se sentir un peu diminuées face à ces professionnelles de l’industrie du sexe. D’autres préfèrent rester en dehors quitte à sacrifier leur relation.
4- Le fétichisme des chaussures/rétifisme et des talons hauts/altocalciphilie
En lisant tous ces termes en –lie certains d’entre vous se demandent peut-être s’ils n’auraient pas atterri sur une revue de sciences ? Rassurez-vous, non. Ces mots à caser dans une conversation renvoient aux différentes formes courantes de fétichisme.
Le rétifisme ne concerne pas les femmes qui achètent compulsivement de nouvelles chaussures à talons à chaque fois et ne savent plus où les mettre, non. C’est un peu différent. Ici les hommes font pareil sauf qu’on parle de chaussures déjà portées ou aux pieds de femmes. En cas d’altocalciphilie la partenaire du fétichiste devra continuer de porter ses talons hauts même pendant l’amour.
5- Le rôlisme
Qui n’a pas déjà essayé de se déguiser et de mettre sur pied des scénarios pour pimenter sa vie sexuelle ? Cette pratique rejoint le sadomasochisme qui inclue d’infliger des punitions ou des violences aux soumis pour les faire mouiller encore plus. Les plus courants : la collégienne et l’enseignant, le professeur et l’élève, l’infirmière, la policière, le pompier… il y en a pour tous les goûts.
6- Les odeurs en tout genre
Cela peut aller des petites culottes déjà portées à l’odeur de l’aine entre la cuisse et le sexe. D’autres préfèrent les odeurs de pets (eh oui, vous avez bien lu). Et cette tendance fétichiste a même un nom : éproctophilie ou fart fetish, vous êtes prévenus !
7- Des objets qu’on ne soupçonnerait même pas
Alfred Binet, psychologue français connu, parle dans un article paru en 1887 d’un fétichiste du bonnet de nuit. Avouez quand même qu’il n’y a rien de sexy à l’idée et pourtant cela vient du fait qu’il ait surpris ses parents au lit avec un bonnet de nuit à l’âge de 5 ans. L’image lui est restée.